LA MAGIE DU SHONEN ( FAIRY TAIL)

FAIRY TAIL par Hiro Mashima

Une chronique à deux voix dans la tête de JP Nguyen

VO : Kodansha

VF : Pika

Dans cet article, je vais vous parler de FAIRY TAIL, à l’origine manga Shonen créé par Hiro Mashima, qui compte 63 tomes publiés entre 2006 et 2017 et qui a fait l’objet d’une adaptation en série animée en 328 épisodes, entre 2009 et 2019. Pardon à Bruce, dont je vais emprunter la voix, pour dire quelques bêtises (enfin, je veux dire, plus que d’habitude).

Et ils ne sont même pas tous là !

Bruce : Hey mec, ça fait un moment que t’as pas pondu d’articles pour le blog ! J’ai un planning de publication à alimenter, moi. Il ne va pas se remplir tout seul comme par magie !

JP : Ah, mon cher rédacteur en chef unique et préféré, j’avais justement un projet d’article à te proposer !

B : C’est quoi ?

J : FAIRY TAIL, l’anime adapté du manga !

B : Pfff. Tu fais chier, ça marche pas les mangas/animes sur le blog. On ne fait jamais de gros scores avec ces articles…

J : Certes, mais je te promets que ça n’impactera pas nos revenus publicitaires, qui resteront totalement stables à zéro euro.

B : Bon, vas-y, ça parle de quoi ?

J : Ca se passe dans le monde imaginaire d’Earthland, dans le royaume de Fiore, célèbre pour ses guildes de mages. L’histoire débute lorsque la jeune Lucy Heartfilia, une mage constellationniste capable d’invoquer les esprits du Zodiaque, rejoint la guilde de Fairy Tail, qui va devenir sa famille d’adoption et au sein de laquelle elle va tisser de forts liens d’amitié notamment avec ses équipiers les plus réguliers : Erza Scarlett, qui contrôle la magie des épées et des armures, Grey Fullbuster, un mage de glace et Natsu Dragnir, un chasseur de dragons qui pratique la magie des flammes. Ensemble, ils accomplissent des quêtes qui permettent à la guilde d’être rémunérée. Leurs aventures leur font rencontrer moult adversaires redoutables et surpuissants mais aussi nombre d’alliés et de nouveaux amis. Ils relèveront bien des défis avant de triompher des deux terribles menaces qui constituent le fil rouge de la saga : le Mage Noir Zeleph et le dragon noir de l’Apocalypse Acnologia.

B : Bouarf, ça semble super-bateau, ton truc…

J : Attends, attends, y’a plein de trucs sympas dans cette œuvre ! Je ne t’ai pas parlé de James Dean…

B : Ah, tu m’intéresses !

L’équipe principale

J : Donc, je ne t’en ai pas parlé car il n’apparaît pas du tout MAIS… il y a le susnommé Grey Fullbuster, dont les pouvoirs de contrôle de la glace ne sauraient laisser indifférent un fan d’Iceman tel que toi ! En fait, les personnages sont présentés comme des mages, mais comme leur magie est souvent très thématique et lié à un champ particulier, on pourrait très bien parler de superpouvoirs mutants. C’est juste que leurs pouvoirs s’alimentent de l’énergie magique ambiante du monde d’Earthland, via les particules ethernanos. Une sorte d’équivalent des midichloriens de la Force dans Star Wars, quoi…

B : Reprends-toi, tu es en train de me perdre avec ton charabia pseudo-scientifique à la Ellis/Hickman !

J : Euh… au-delà de la source de la magie, il y a une grande diversité dans son utilisation.

B : Après des années de lectures Marvel et autres, tu crois vraiment que je peux être surpris par des superpouvoirs, magiques ou pas ?

J : Je tente une autre référence : Saint Seiya. Tu te rappelles, la série de notre jeunesse, avec ses morceaux de bravoure, ses duels désespérés dans les temples grecs du Sanctuaire inspirant le dépassement de soi et le sacrifice au nom du pouvoir de l’amitié ?

B : Mouais. C’était cool, avant que Kurumada ne flingue sa franchise et que Netflix ne vienne pisser sur le cadavre…

J : Hé bien, FAIRY TAIL, c’est un anime qui, à plusieurs reprises, m’a collé des frissons similaires à Saint Seiya ou encore à Dragon Ball Z. Comme lorsque Goku se transformait en Super Sayen pour dégommer Freezer alors que la planète Namec était sur le point d’exploser…

Dans FAIRY TAIL, les héros sont souvent à deux doigts de la défaite mais vont puiser au fond d’eux mêmes et de l’amitié qui les lie à leurs camarades l’énergie et la détermination pour se relever et continuer à se battre. C’est certes un gros cliché du genre nekketsu mais quand c’est bien fait, ce qui est le cas dans l’adaptation animée, l’effet fonctionne à plein, avec la musique super entraînante de Yasuharu Takanashi !

Un autre truc cool, c’est l’importance du collectif. Même pléthorique, l’effectif de la Guilde permet à chacun de briller bien au-delà du noyau dur de l’équipe de Lucy et Natsu. Et ce dernier, même si il occupe la place de héros principal, ne vole pas la vedette à ses coéquipiers. La narration, construite en arcs, ménage toujours des moments-clés où les actions de tel ou tel personnage seront cruciales pour la réussite de la mission. A ce niveau, je trouve ça bien plus équilibré et sympa que DBZ où Goku écrase tout le casting et où une bonne partie des intrigues pourraient se résumer à Piccolo/Vegeta/le supporting cast font office de chauffeurs de salle en attendant que Goku revienne de son super-entraînement ou d’entre les morts (ou les deux).

D’ailleurs, la hiérarchie des niveaux de puissance est assez souple et fluctuante dans FAIRY TAIL. Un mage peut très bien déployer une énergie immense pour triompher d’un adversaire et se retrouver un peu plus tard dans une situation délicate face à un ennemi moins puissant mais plus rusé ou débrouillard.

B : Bon, ça a l’air bien gentil ton truc mais c’est pas super-vendeur. Ça manque de cul !

J : Alors, déjà, au niveau des ventes de mangas, FAIRY TAIL a atteint des chiffres plus qu’honorables, avec plus de 70 millions de tomes écoulés dans le monde… Et sinon, il a parfois été reproché à Hiro Mashima de faire trop de Fan-Service au point de dériver vers du Ecchi en mettant en scène ses héroïnes en petite tenue et dans des situations à connotation érotique… Pour ma part, connaissant davantage l’anime que le manga, j’ai pu constater quelques plans racoleurs qui ne sont pas du meilleur goût mais rien de bien méchant. De plus, il y a de nombreux personnages féminins (bons ou méchants) qui tiennent un rôle important et font preuve de force et de détermination. L’exemple le plus évident est celui de l’indomptable Erza, la guerrière aux cheveux rouges mais il y a, au sein de la guilde, bon nombre d’autres camarades féminines qui s’affirment au fil de la série.

B : Sans trop spoiler, tu pourrais me pitcher les arcs qui t’ont le plus plu ?

J : Alors, déjà, même si les gentils gagnent toujours à la fin, j’ai trouvé une certaine diversité dans les intrigues. On n’est pas dans la trame basique de « la princesse Saori est dans la mouise et il faut vite rassembler les sept mac guffins pour lui sauver les miches ». Le premier arc qui m’a marqué, c’était celui de LA TOUR DU PARADIS, où on en apprend davantage sur le passé d’Erza et l’équipe se confronte à Jellal, un mage très puissant, qui se repentira plus tard pour devenir leur allié. Au passage, la série voit plusieurs adversaires rejoindre les rangs de la guilde et, dans l’ensemble, j’ai trouvé que c’était mieux exécuté que la conversion de Vegeta dans DBZ… Ensuite, j’aime aussi l’arc de L’ILE DE TENRO, une épreuve interne à la guilde pour accéder au rang de mage de rang S, mis qui va se trouver pertubée par des éléments extérieurs. Il y a aussi LES GRANDS JEUX INTERMAGIQUES, qui voient revenir certains membres de la guilde après une longue absence pour affronter en tournoi les autres guildes de Fiore.

A de nombreuses reprises, les héros de FAIRY TAIL font face à une adversité aux pouvoirs démesurés mais ils trouvent toujours la ressource pour déjouer les pronostics et renverser l’issue du combat.

B : OK, mais si ils gagnent toujours, où est l’intérêt ?

J : Les personnalités des héros sont attachantes, ils ont tous des origines un peu nébuleuses qui s’éclairent au fil de l’histoire. Bon nombre de seconds rôles sont également sympathiques, bien que l’auteur s’en tienne parfois à une formule basique : un nom/un look/une catchphrase et c’est plié, le tout en tapant allègrement dans les archétypes classiques du shonen. Le monde d’Earthland n’est pas non plus hyper-chiadé au niveau du background : l’énergie magique stockée dans les « lacrymas » sert à peu près à tout et on se retrouve avec des villes d’apparence médiévale où les gens se baladent avec des téléphones mobiles et regardent la télévision.Néanmoins, le casting de FAIRY TAIL est tellement étoffé qu’il parvient à rendre cet univers « vivant » et constituer un monde imaginaire rassurant dans lequel il est plaisant de se plonger.

B : Un univers de conte de fées ?

J : Euh… oui, mais avec beaucoup de magie et de baston ! Au passage, le nom de la série est liée à une question pas vraiment fondamentale : les fées ont-elles des queues ? La série n’y apportera pas forcément de réponse. Pour autant, elle n’est pas sans queue ni tête et surtout, ses héros ont du cœur !

Natsu, le roi de la banane… flambée !

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La BO du jour :

22 comments

  • Eddy Vanleffe  

    Fairy Tail sur Bruce Lit?

    C’est un des nombreux nekketsu à rallonge très populaires un peu comme ONE PIECE, NARUTO, BLEACH et parmi les plus récents DEMON SLAYER, JUJUTSU KAUSEN ou MY HERO ACADEMY…
    C’est souvent la branche du manga qui m’intéresse le moins…
    J’ai suivi un peu FAIRY TAIL (3 saisons?) avant de lâcher l’affaire
    J’en retiens le côté « fan service » rigolard qui choque tant sur internet…bon un dessin de fille en maillot de bain, moi j’appelle pas ça de l’érotisme non plus..
    Les personnages féminins sont quand même bien mieux réussis que dans NARUTO ou DBZ (en même temps on part de loin…)
    j’aime bien la fille aux cheveux bleus

    • JP Nguyen  

      La fille aux cheveux bleus ?
      Wendy Marvel, la jeune chasseuse de dragon céleste ?
      Ou Jubia, l’amoureuse de Grey ?

      • Eddy Vanleffe  

        JUBIA….ce genre de personnage me fait toujours marrer…

        • Clément  

          J’avoue souvent des barres de rire

  • Eddy Vanleffe  

    J’apprends donc un tas de choses.
    Merci JP

  • JB  

    Belle fausse interview, on reconnaît bien la « voix » du boss (par contre, très sale, la mention de James Dean pour l’amadouer !)
    À voir, je n’ai plus vraiment le temps (ni jamais eu vraiment l’envie) pour des séries de longue haleine et la somme colossale des mangas/séries Fairy Tail me fait peur (jamais dépassé la Tour Carine de DB sans Z, et n’ai que visité le Sanctuaire et Asgard côté CD avec Z)

    • JP Nguyen  

      Oui, encore merci à Bruce de m’avoir laissé le droit de réaliser cette imposture…

      • Clément  

        On a commencé a regarder tout fairy tale en familles en mangeant ou autre
        et franchement ca reste agréable, pas trop de feeder.
        Des personnages assez fun.
        J’avoue des fois le fan service est un peu trop appuyé, ca reste un shonen.
        Erza est le perso qui nous fait le plus vibrer
        le générique de l’arc du tournoi intermagique était une pepite

  • Fletcher Arrowsmith  

    Salut JP.

    je mets enfin des images derrière FAIRY TAIL et même si je n’ai pas la réponse je comprends qu’il y a bien un jeu de mot et pas une faute d’orthographe avec Tale.

    J’ai toujours du mal avec les mangas dit populaires alors que je me suis farci pendant des années les pires bouses en comics. Dans le style fantasy (je n’ai jamais rien compris et j’ai la mémoire d’une huitre sur le classement des sortes de mangas) je me suis lancé dans L’ATELIER DES SORCIERS. Bon cela a l’air moins DBZ et déluré que FT.

    Comme pour NARUTO ou ONE PIECE l’oeuvre est trop conséquente pour que je m’y colle. Et je n’aime pas regarder les séries animés.

    Par contre la forme de l’article est chouette. Je connais peu ce B, mais il ne capte pas grand chose à priori. Cela a du être compliqué de tenir la conversation avec lui. Loin d’être un geek à priori. D’ailleurs quand il te parle de fesse tu es sur d’avoir bien compris ? car je pense qu’il te parlait de James Deen.

    Un peu de mal avec les OST présentés.

  • Jyrille  

    Ah du JP ça faisait longtemps ! Ou j’en ai l’impression je ne sais pas… En tout cas je vois de suite que tu as envie de refaire un team-up, il faut qu’on se trouve un truc vieux, je suis complètement open. Je ne connais Fairy Tail que par Maël qui les lit depuis longtemps mais je ne sais pas si il a regardé ou s’il regarde encore l’anime. Pour ma part, rien vu non plus. Tu as regardé les 328 épisodes ?

    Je salue la forme de l’article qui est bien drôle et connait son rédac-chef sur le bout des doigts. La première BO est bien entraînante et fait très pirate en fait, ça me rappelle un peu les BO de jeux vidéos genre FINAL FANTASY ou ZELDA (ou je me trompe ?). C’est confirmé par le second extrait – enfin pour moi toujours.

    Il faut que je révise mes définitions de genres japonais : je ne connaissais pas ecchi et nekketsu j’ai oublié. En même temps une série basée sur un jeu de mot, fut-il en anglais, ne pouvait que te plaire non ? Le monde a l’air un peu bizarre mais ça peut être cool. Je ne suis pas certain d’avoir le temps pour tout ça par contre. Va savoir. Au moins je sais de quoi il retourne grâce à toi !

    La BO du jour : je la finirais demain, mais je vois tout à fait le genre. C’est très sympathique.

    • Kaori  

      Ecchi, je crois que c’est quand tu as des jolies jeunes filles autour d’un garçon… Bon, je viens d’aller voir sur Wiki, c’est surtout à connotation sexuelle !
      Nekketsu, c’est le style avec le héros seul au départ, l’amitié qui transcende tout, les bagarres à tout bout de champ, etc…

      • Jyrille  

        Merci Kao !

        • Eddy Vanleffe  

          Ecchi c’est du cul sans cul comme dans les films M6 interdits aux moins de 16 ans…ce sont des attitudes sexuelles, un peu d’érotisme très soft et parfois des personnages qui parlent de sexe (ce qui dans le manga est ultra rare, puisqu’ils rougissent comme des malades, dès qu’ils se tiennent la main…)

  • Bruce lit  

    C’est assez incroyable en fait : JP, adepte du teamup écrit le 1er dialogue virtuel GPT avec moi ou tout du moins l’avatar imaginé par Le Défi Nikolavitch. C’est presque rassurant : je peux disparaître de ce monde, mon esprit perdurera. Ainsi que mes lubies.
    Ceci dit, j’en détecte aussi spéciales JP : Le Teamup donc ainsi que la rédemption de Vegeta qui, décidément, ne passe pas.
    Pour le reste, tu invoques forcément du sacré : La saga du sanctuaire et Freezer ! Mazette !
    Ma fille déjà experte en manga me confirme que les personnages sont bien écrits.
    Sera-ce suffisant pour me laisser tenter sur un Shonen au long cours ?
    Pourquoi pas dès que j’aurais fini la flopée d’animés pour adultes, VINLAND SAGA en tête.

  • Présence  

    Un manga dont j’ai acheté chaque tome à sa sortie pour mon fil, mais je n’en ai lu aucun.

    Bruce dont je vais emprunter la voix : il y en a qui ne manque pas d’air, oser transformer son rédacteur en chef en simple marionnette dont on tire les ficelles, ou pire encore comme image, Jeff Panacloc enfilant sa main dans Jean-Marc !!!

    J’ai trouvé Bruce un peu plus mordant que dans ses vraies interviews.

    Ce fut très agréable de découvrir de quoi il retourne dans ce manga. Cela me permettre à l’occasion de questionner mon fils sur le sujet, en ayant l’air de savoir de quoi je parle. 😀

  • Kaori  

    Ah, celui-là, j’ai commencé avec les enfants cet été… Et j’avoue que j’ai pas été conquise… Du coup, on a dû en voir 5 ou 6. Et après on a stoppé l’abonnement Netflix. 328 épisodes, ça m’a filé le vertige. Pourtant y a bien quelques personnages qui m’intéressaient, mais bon… Un jour peut-être, je trouverai le courage.

    Très chouette cette forme d’article, j’avais peur d’un article fleuve, vu le nombre d’épisodes, mais en fait pas du tout ! Tout est dit de manière drôle et intéressante.

    Niveau animé, ici on s’est pris Crunchyroll en lieu et place de Netflix, du coup on n’arrête pas ! On s’est fait :
    – CHAINSAW MAN (un truc de dingue)
    – JUJUTSU KAISEN (que j’aime bien malgré les critiques ; et le générique de fin de la première partie de saison me fait trop tripper !)
    – MUSHOKU TENSEI : JOBLESS REINCARNATION : l’adaptation de l’oeuvre qui a lancé le genre « isekai » (où le héros meurt et est réincarné dans un monde de fantasy/virtuel) (très bon, on ne sait jamais où on va. Dommage que le héros soit aussi un pervers un peu lourd, surtout qu’on le suit de sa naissance à son adolescence et qu’il est pervers dès qu’il ouvre les yeux… c’est pas souvent mais quand il s’y met, ça devient vraiment agaçant à force… d’ailleurs l’anime est classé « ecchi », on a quelques scènes assez… explicites…)
    – HAIKYU : le fameux anime sur le volley, j’adore.
    – THE PROMISED NEVERLAND : là aussi, sacrée surprise : des orphelins qui découvrent l’horreur qui se cachent derrière les « adoptions ».
    – VINLAND SAGA évidemment. Je n’avais pas accroché à la saison 1, j’aime beaucoup cette saison 2, beaucoup plus calme, très poétique.

    Bon après y a quelques autres trucs un peu plus romantiques pour ma fille et moi que je ne listerai pas ici ^^

  • JP Nguyen  

    @Clément : ne voulais-tu pas plutôt parler de « filler » plus que de « feeder » ?

    @Fletcher : les OST d’anime japonais, surtout les shonens, il faut avoir un goût acquis pour la pop nippone, ou une oreille pas trop sensible à certaines facilités…

    @Cyrille : oui, il faudrait que je réactive mes projets de vrai teamup, avec toi notamment

    @Bruce : bien vu, moi aussi, j’ai mes fixettes

    @Présence : il y a donc des BD qui passent dans tes mains mais échappent à la lecture ???

    @Kaori : rien vu dans ta liste mais mon épouse a regardé pas mal d’Isekai ou assimilés : Log Horizon, Dan Machi, Grimgard, Sword Art Online…

    • Eddy Vanleffe  

      PROMISED NEVERLAND est un pur bijou flirtant presque avec le cinoche espagnol avec ces couloirs au papier peint oppressant…
      JUSUTSU KAISEN est vraiment très cool, une sorte de variation autour du thème de Naruto, on va pas se mentir, mais avec un vrai héros attachant et actif, pas un éternel retardataire qui nous fait le coup: « maintenant que tout le monde est mort, je vais vous montrer ma technique ultime qui va broyer le méchant! »
      SWORD ART ONLINE est à mon sens le meilleur isekai, le plus émouvant… bon le héros est à la tête d’un harem assez agaçant, mais ça passe…
      HAIKYU: Une merveille!

      Je conseille sur Netflix, KOMI CHERCHE SES MOTS qui aussi un pur petite merveille d’émotion feel good
      je ne sais pas sur quelle plateforme, c’est proposé mais SPY X FAMILY elle aussi un petit bonbon parvenant presque à nous évoquer YOTSUBA TO

      • Fletcher Arrowsmith  

        On est papier uniquement (pas animé), mais je recommande en effet chaudement PROMISED NEVERLAND, qui part dans des directions inattendus.

        Et mon fils a réussi à me filer le virus de SPY X FAMILY : j’ai dévoré les 10 tomes disponibles (le 11 dans quelques jours) en quelques semaines. Un de mes récents coups de cœur.

        • Kaori  

          Ah oui, on en est au 6 dans la SPY X FAMILY, mais ça manque un peu de sérieux pour que je sois accro. Ma fille les a tous lus par contre. Moi j’ai dû lire les deux premiers je crois… J’en suis à l’arrivée du beau-frère chelou…

          THE PROMISED NEVERLAND, oui, quelle série… Bon, dommage mon conjoint avait grillé très vite qui était le traitre. Je lui disais « mais nooooon… » tout en me disant « oui enfin vu qu’il a raison à chaque fois qu’il fait une prédiction… »
          L’inconvénient de regarder tous ensemble en version animée 😉 .

          • Eddy Vanleffe  

            l’enfance du père arrive sur le tard dans le manga et ça rajoute du sérieux, mais oui, c’est un manga très feel good et très loufoque…
            un autre manga est un presque rival SAKAMOTO DAYS avec un ancien tueur qui est vendeur dans un konbini qui prend sous son aile un jeune garçon

          • Bruce lit  

            Amusant SAKAMOTO DAYS mais j’en ai vite fait le tour.

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