CHAINSAW MAN par Ryû Nakayama
Une possession signée KAORIVO/VF : Studio MAPPA/Crunchyroll
Ca va saigner !
Source : Allociné
©Crunchyroll
Cet article parlera de la première saison de l’adaptation animée du manga CHAINSAW MAN de Tatsuki Fujimoto. Produite par les studios MAPPA (JUJUTSU KAISEN, L’ATTAQUE DES TITANS saison finale, VINLAND SAGA saison 2…), cette première partie est réalisée par Ryû Nakayama et scénarisée par Hiroshi Seko.
Cette première saison couvre un peu moins de la moitié du premier arc, celui-ci représentant les 11 premiers volumes du manga paru chez Kazé (et devenu Crunchyroll Éditions pour les volumes suivants). Le manga est classé en France « 16 et + ».
Avez-vous déjà entendu parler de Chainsaw Man ? Si c’est le cas, vous savez que ce n’est pas le nom d’un nouveau super-héros Marvel, ni celui d’un nouveau tueur comme Candyman. Quoique… CHAINSAW MAN est une œuvre comme on en fait peu.
Inclassable et pourtant issu d’un manga publié initialement dans le magazine Weekly Shônen Jump, il est destiné à un public averti. En effet, on est plongé dans le sang et le gore dès le premier épisode, avec une atmosphère extrêmement glauque et désespérée, pour se retrouver un épisode plus tard avec des moments complètement loufoques dignes d’un CITY HUNTER…
Source : Allociné
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DE QUOI ÇA PARLE ?
CHAINSAW MAN, c’est l’histoire de Denji, un Japonais de 16 ans, évoluant dans un monde où les humains « cohabitent » avec les démons. Denji est un orphelin qui, au début de la série, travaille comme Devil Hunter, ou chasseur de démon, pour éponger les dettes de son père qui s’est suicidé quand il était enfant. Celles-ci sont tellement élevées qu’il a déjà dû vendre son œil droit et un de ses reins. Il se nourrit des restes trouvés dans les poubelles et est prêt à tout pour un petit centime. En résumé, un adolescent qui a perdu toute dignité humaine.
Il est accompagné d’un chien-tronçonneuse, Pochita, un démon qu’il a sauvé et apprivoisé lorsqu’ils étaient petits. Pochita est son seul ami et sa seule famille. Il lui est d’une grande aide dans l’extermination des Démons.
Les choses se compliquent quand Denji est attiré dans un traquenard par son créancier, le chef des Yakuzas du quartier. Il y trouve alors une mort atroce : attaqué par des humains transformés en zombie par un démon, il finit en effet découpé en morceaux dans une benne à ordure, au côté de Pochita. Celui-ci, ressuscité grâce au sang de Denji, « propose » un marché à ce dernier : il lui offre son cœur pour qu’il puisse vivre une vie « normale » (sans se soucier du lendemain).
C’est ainsi que Denji reprend vie sous la forme d’un hybridemi-humain, mi-démon, totalement intact et remis à neuf, mais affublé d’une chainette qui sort de son sternum. Une chainette qui, quand il l’actionne en tirant dessus, le transforme en homme-tronçonneuse : Chainsaw Man… Une tronçonneuse en guise de visage, des lames sortant de ses bras, il se débarrasse ainsi sans mal de l’armée de zombies et du démon zombie qui l’ont assassiné.
Le cas de Denji est à part : en effet, les démons pactisent avec les humains pour leur prêter leurs pouvoirs en échange de dons : un bout de leur espérance de vie, des morceaux de leur chair… , ou bien ils possèdent leurs cadavres et l’humain possédé n’est plus qu’un réceptacle sans âme. Ce n’est aucunement le cas de Denji qui garde sa pleine conscience.
Cette particularité fait que Denji va très vite attirer l’attention des autorités et être recruté par l’agence de sécurité publique pour devenir un Devil Hunter officiel, lui garantissant sa survie. En effet, humain ou pas, quand on pactise avec des démons, soit on sert le pays, soit on est éliminé.
Denji est ainsi intégré dans une unité spéciale constituée uniquement de Devil Hunters ayant pactisé avec les démons, de possédés, tous ayant pour point commun de ne pas être très équilibrés mentalement. La raison étant simple : c’est la seule façon de survivre à ces missions…
La rencontre entre Denji et Pochita
ET ON VOIT QUI ?
Nous suivons principalement Denji, qui a donc eu un début de vie très difficile : condamné à essayer de survivre seul dès son plus jeune âge, et à rembourser une dette qui lui prendrait sa vie entière, il vit parmi les déchets et n’a plus aucune dignité humaine. Après sa fusion avec Pochita, son caractère va se révéler assez différent : libéré de ses dettes et ayant trouvé un moyen de survivre, il sera obsédé par deux choses : la nourriture et les contacts charnels avec la gente féminine, en particulier avec Makima dont il est tombé immédiatement amoureux, Makima étant la première personne (après Pochita) à avoir montré un peu d’humanité envers lui…. Sa fusion avec Pochita semble avoir altéré une partie de son humanité, comme lorsqu’il se rend compte qu’il n’éprouve aucune tristesse après la perte d’un camarade de son équipe.
Denji est accompagné, ou plutôt surveillé par Aki, un jeune homme froid et déterminé ayant pactisé avec deux démons, le Démon-Renard qui dévore les chairs, et le Démon-Malédiction, qui lui retire de son espérance de vie chaque fois qu’il fait appel à lui. Au départ très hostile à Denji, il finira par le prendre sous sa protection et reconnaître son utilité. Il s’est engagé dans l’unité par désir de vengeance, après avoir perdu toute sa famille à cause d’un démon.
Le duo se retrouve rapidement affublé de Power, une possédée du Sang aux cornes apparentes et aux dents pointues (comme Denji d’ailleurs, sans qu’on n’ait une once d’explication), complètement barrée et incontrôlable. Elle est l’élément comique de l’anime. Personnage qui passe son temps à hurler, sans aucune idée de la manière de se tenir en société, elle est encore plus ingérable que Denji. Elle ne pense qu’à manger et ne présente aucune empathie pour la race humaine. Avec Denji, elle forme un binôme assez drôle et efficace.
L’unité est dirigée par Makima, une jeune femme au comportement assez particulier : se montrant au départ très gentille et protectrice avec Denji, elle lui fera vite comprendre qu’elle ne le voit que comme un chien qui lui doit obéissance s’il ne veut pas se retrouver jeter de nouveau aux ordures. Ce qui ne déplaira pas le moins du monde à Denji, ce creuvard prêt à tout pour une tartine de confiture (la raison première pour laquelle il a accepté d’intégrer l’unité spéciale) et dont le seul objectif est de toucher un jour les seins de Makima.
On voit bien ainsi que sous des couverts de monde apocalyptique, on se retrouve avec des personnages à la fois barrés et attachants. Denji est complètement soumis à ses hormones d’adolescent mais se retrouve toujours victime de la gente féminine : il ne fait que rêver et fantasmer, braillant à longueur de combat qu’il veut rester en vie pour tâter des seins, mais n’étant en fait que le jouet de ces dames, totalement soumis à leur bon vouloir, complètement submergé par sa candeur et son inexpérience la plus totale du fait de son absence de vie sociale.
Une collocation difficile
ET ON SE SENT COMMENT, LA DEDANS ?
Bien que la galerie de personnages donne une impression de légèreté, la série est loin d’être une simple comédie. Les combats sont à la fois impressionnants, sanglants, gores (au point de vous couper l’appétit) et souvent tragiques. On peut ainsi passer du rire aux larmes dans le même épisode. Des personnages que l’on prend le temps de nous présenter peuvent disparaître en une fraction de seconde, à la WALKING DEAD. La seule certitude que l’on pourrait éventuellement avoir, c’est que Denji survivra au moins jusqu’à la fin de la série…
Lorsque les « héros » ne combattent pas, on les retrouve dans des moments du quotidien, nous faisant presque croire que l’on est dans une série classique, bien pépère. La futilité et l’insouciance cohabitent avec le gore et les larmes. Drôle de mélange finalement assez addictif…
Une transformation douloureuse
ET ON ENTEND QUI ?
La VF est un petit plaisir personnel puisqu’on retrouve dans le premier rôle Donald Reignoux, un incontournable du métier (Paul Dano, Jesse Eisenberg et Andrew Garfield dans l’univers Marvel/DC ou bien encore Shinji…). Évidemment, il gère à merveille aussi bien le côté dépressif et masochiste du héros au début de la série que le côté complètement dépravé et déjanté. Bref, un vrai délire bien appréciable.
Le reste du casting est certes moins connu (Zina Khakhoulia, Victoria Grosbois et Jérémie Bédrune) mais réalise un travail de très bonne facture.
Le trailer VF
ET ON ENTEND QUOI ?
Les musiques au sein des épisodes sont signées Kensuke Ushio et collent parfaitement à chaque scène. Concernant les opening et les ending, on tient là une petite particularité. Alors que l’opening (sur le titre KICK BACK de Kenshi Yonezu) ne montre absolument pas le côté sérieux de l’histoire, les ending sont tous différents, que ce soit dans le style graphique, la narration ou le style musical. Ils sont en effet tous liés à l’épisode qu’ils concluent. Oniriques, parfois déstabilisants, ils sont une raison de plus d’apprécier cet animé hors du commun. Une originalité qui montre le sérieux et l’investissement du studio dans la série. Pour faire court : des petites merveilles.
ALORS T’EN PENSES QUOI ?
CHAINSAW MAN est ainsi une petite pépite de 12 épisodes (pour l’instant) qui, même si moins populaire qu’un DEMON SLAYER ou un JUJUTSU KAISEN, deux séries du moment incontournables et aux thèmes similaires, marque par son originalité et sa maturité. Si vous avez le cœur bien accroché, ne passez pas à côté !
Source : Allociné
BO :
Un classique, mais qui colle bien à l’ambiance…
Sur son ultime article Kaori trouve une façon de rendre son article hyper convivial avec cette auto interview du lecteur qui fait le tri des explications à donner.
Je crois que ma fille a acheté le premier tome pour voir…
Elle ne m’en a pas encore parlé.
Je ne suis pas personnellement très attiré par ce concept même si les japonais ont cette capacité de rendre tout hyper dynamique et prenant.
J’ai choisi pour ma par de me concentrer sur DANDADAN et SPY X FAMILY et SLICE OF HORROR pour le côté mignon/épouvante.
Sur un plan plus personnel, j’ai adoré travailler avec toi Kaori, nous faisons une bonne équipe en nous équilibrant l’un, l’autre, solidifié par une affinité profonde pour les personnages positifs même si très humains, tout le chemin qui peut relier des Nightwing et des Ryô Saeba.
Mention spéciale pour toi qui songe toujours à créditer les voix VF, un métier que je sais que nous respectons énormément.
Pour moi, ce n’est pas un au revoir de toute façon, même si la tonalité unique des tes articles va me manquer.
see you!
J’ai tenté la lecture du manga et je vais me contenter de poliment dire que ce n’est pas fait pour moi.
Super article, hyper-accrocheur avec ses paragraphes thématiques et son approche sensible (du pur Kaori). Je n’en avais jamais entendu parler mais avec VINLAND SAGA ensensé par Bruce ce week-end, je crois que je ne vais pas tarder à me remettre aux animes !
La BO : Classique mais indémodable. La BO de mes 20 ans, tout simplement.
Un principe de base assez WTF, qui m’évoque un peu le délire AXE COP.
Belle présentation, si je trouve l’anime, je pense que je vais m’y risquer.
Merci Kaori de m’avoir accueilli et guidé lors de mon arrivé dans l’équipe, je ne doute pas qu’on te reverra dans les commentaires (et peut-être pour des articles one shot ?)
Ça me fait un penser au body horror particulièrement prisé au Japon.il y a tout un sous genre de films assez gore où les personnages ont des armes greffées au corps. On a même des films comme TETSUO, ce genre de chose qui fantasment la fusion entre l’homme et la machine. ou encore dans le décalé un peu vulgaire TOKYO GORE POLICE.
A l’époque de la rédaction de cet article, je ne pensais pas que c’était mon dernier…
Mais il a été si long et difficile à conclure qu’il m’a permis de me rendre à l’évidence : il est temps d’appuyer sur le bouton « stop »…
@ Eddy : je ne connais pas DANDADAN, ni SLICE OF HORROR. SPY X FAMILY c’est en cours de lecture.
Merci pour ton message. Ton soutien m’a poussée durant ces 4 années, et je ne peux pas cacher que ton départ a mis un coup à ma motivation… Ce fut une belle aventure de faire équipe avec toi sur le blog, j’espère qu’on renouvellera l’expérience d’une manière ou d’une autre !
@Tornado : merci. VINLAND SAGA est à voir, pour sûr. La BO, c’est plus mes 15 ans, t’es plus jeune que moi ?!
@JB : merci. L’anime est sur Crunchyroll. 15 jours d’essai gratuit, un épisode par jour, ça se tente 😉 .
C’est comme ça que j’ai permis à une de mes collègues de voir A SILENT VOICE (sa fille est partie vivre au Japon, elle s’est donc mise à essayer d’en apprendre un peu plus sur la culture japonaise, alors je l’initie un peu aux petits trésors que je connais !)
A tous.
Lire vos commentaires me fait réaliser que je réussis à transmettre mes émotions, pour une timide incapable de les verbaliser à l’oral, c’est une vraie satisfaction et un défi relevé. Si le rythme de vie n’était pas si prenant, j’aurais aimé continuer d’écrire pour le blog. Je ne dis pas à non des « one-shot », comme tu dis, JB, quand le temps aura passé, et que j’aurai retrouvé mon énergie, mon courage et ma motivation.
Aux anciens,
Merci pour l’intégration dans l’équipe, pour votre bienveillance et vos encouragements. Ca a été dur de prendre la décision de vous dire au revoir.
Je reviendrai vous lire à la rentrée !
A Bruce,
On s’est déjà tout dit, mais je ne le dirai jamais assez. Merci de m’avoir accueillie et offert cette chance, de m’avoir offert ta confiance, et ce moyen de m’exprimer et de partager mes passions avec vous.
Pour conclure : longue vie au blog !
Un article bienvenu car voilà quelque temps que ce titre (homme tronçonneuse) m’intrigue sans que je n’ai encore pris le temps de satisfaire ma curiosité.
Les choses se compliquent quand Denji est attiré dans un traquenard par son créancier, le chef des Yakuzas du quartier. Il y trouve alors une mort atroce […] le transforme en homme-tronçonneuse : Chainsaw Man… Une tronçonneuse en guise de visage, des lames sortant de ses bras, il se débarrasse ainsi sans mal de l’armée de zombies et du démon zombie qui l’ont assassiné. – Enorme !!! Un des meilleurs pitch de cette saison sur Bruce Lit, si ce n’est le meilleur.
Denji sera obsédé par deux choses : la nourriture et les contacts charnels avec la gente féminine !!! -M’enfin, comment une femme peut apprécier un tel personnage principal ??? 😀 😀 😀
Personnage qui passe son temps à hurler, sans aucune idée de la manière de se tenir en société : ais voilà une belle brochette de modèles équilibrés à suivre. 😀
Denji n’étant en fait que le jouet de ces dames, totalement soumis à leur bon vouloir : Ah ben voilà, tout s’explique. 😀
Présence, tu as tout compris !!
Super article qui donne envie de tenter, Kaori. L’animation a l’air pas trop mal en plus. Je ne connaissais pas du tout JUJUTSU KAISEN, je crois bien n’en avoir jamais entendu parler. Par contre le fils a tous les mangas, il rage encore du changement d’éditeur, de voir que les maquettes diffèrent, il a vraiment l’esprit d’un collectionneur et je peux le comprendre. Je ne sais pas si il a regardé l’anime par contre.
Dis, tu te serais pas inspiré de mes articles sur les séries pour le découpage ? ^^
La BO : classique mais indémodable, gros gros souvenirs…
Dans le grand maelstrom des sorties SHONEN actuelles, JUSJUTSU KAISEN est sans doute le meilleur cru.
DEMON SLAYER est très beau et très bien animé, mais c’est une sorte de collage de scènes obligées.
MY HERO ACADEMIA m’ a l’air vraiment opportuniste
et je ne sais pas si un titre va tirer son épingle du jeu dans les mois à venir.
De toute façon le Nekkestu, c’est la forme de manga que je lis le moins
JUJUTSU KAISEN, c’est un cran en dessous de CHAINSAW MAN, mais je ne peux pas m’empêcher d’aimer. Contrairement à DEMON SLAYER avec lequel je n’accroche pas.
J’avais même prévu de faire un article sur JJK. J’aime sa galerie de personnages complètement barrés et drôles (y a quand même un perso qui, à cause de son pouvoir destructeur lorsqu’il parle, ne prononce que des noms de fruits de mer, et tout le monde comprend ce qu’il dit, ça me tue à chaque fois !!)
Et puis l’ending est un de mes endings préférés, tout animés confondus : totalement loufoque, rien à voir avec la série (qui raconte les missions de lycéens chasseurs de reliques et de démons) ni avec le style graphique, mais l’animation me fait triper, tellement raccord avec la personnalité de chacun des personnages !!
https://www.youtube.com/watch?v=6riDJMI-Y8U&ab_channel=CrunchyrollCollection
Pour mon article, je ne vais pas mentir, tu es ma source d’inspiration pour écrire des articles sur des séries !! J’aime ton côté ordonné. Je voulais mettre des titres au départ, mais ça ne me plaisait pas… Puis je me suis dit que finalement, mes intitulés, qui n’étaient destinés qu’à moi-même au départ, pouvaient être marrants ^^
Merci Kaori pour les explications ! Ah ah tu as bien fait car tes en-têtes fonctionnent du feu de dieu !
DEMON SLAYER je m’y mettrais peut-être, j’ai vu le début du premier épisode, graphiquement c’est étonnant. Et je le redis : fonce voir le dernier Spider-Man au ciné ! Claque graphique !
Depuis que les japanimes de combats sont assistés par ordinateurs, il faut bien avouer que les combats dépotent sur chacun d’entre eux. Tout est bien foutu.
DEMON SLAYER possède une colorimétrie particulière.
En revanche, comme Kaori, je n’ai pas trop accroché à l’histoire en elle même essentiellement parce qu’elle coche toutes les cases des tropes du genre là il faut qu’elle soient cochées. Rien ne dépasse et parfois les emprunts sont un peu trop visibles. Je conseille de regarder la parodie vidéo RE-TAKE qui fait bien le tour de tout ça avec humour (et Donald Reignoux en guest Kaori^^) . faut pas avoir peur des spoils.
JUJUTSU KAISEN, n’st pas non plus révolutionnaire de ce coté, mais il possède un personnage principal hyper-réactif. c’est une sorte de contre-version de Naruto, écrit qui devait être agacé par le coté longuet des combats de la série Naruto. Certaines armes sortent aussi de l’ordinaire.
Si Kaori dit que Chainsawman est mieux…je vais peut-être tenter le coup! ^^
Salut Kaoro.
C’est ainsi que Denji reprend vie sous la forme d’un hybridemi-humain, mi-démon, totalement intact et remis à neuf, mais affublé d’une chainette qui sort de son sternum. Une chainette qui, quand il l’actionne en tirant dessus, le transforme en homme-tronçonneuse : Chainsaw Man c’est tellement absurde que cela en devient intrigant.
Le côté pervers – hormone adolescent : cela en devient presque évident en fait.
Bon je pense que je me risquerais pas là à jouer de la tronçonneuse.
J’aime beaucoup la forme de l’article avec tes paragraphes bien senti. Les thèmes que tu affectionnes, dont je me suis souvent senti proche, et ta plume vont assurément me manquer. Tout comme les échanges en salle de rédaction.
On s’est peu côtoyé mais je sais que j’ai des tas d’articles de Kaori en retard, donc quelques part tu sera encore là finalement.
Bonne continuation et bravo de conclure avec une telle BO que j’approuve à 100%.
Merci Fletch. Notre temps ensemble au sein de la team fut court, mais agréable.
Moi aussi j’ai encore pas mal d’articles à lire… Les vacances sont idéales pour ça !
Au revoir Kaori.
J’imagine un futur alternatif.
La Bruce Team serait faite prisonnière par une organisation maléfique (appelons-la POUF = Pensée Ordinaire Unique Formatée)
Alors, ressurgirons nos valeureux réservistes, Eddy, Matt et toi, Kaori !
Comme chez les X-Men avec Havok, Polaris et Iceman à une époque.
Au boulot, je dois gérer des départs actuellement, dans des circonstances diverses.
Alors ici, je choisis de penser que tu ne pars pas vraiment et qu’on refera un teamup ensemble un de ces jours (pour le récap des 7 saisons de Miraculous quand la série sera terminée ?)
Oh mais qu’elle est belle cette idée de réservistes qui reviennent pour sauver la team !
Et le récap de la série Miraculous, mais carrément ! Je suis toujours assidument la série, même plus que ma fille, faut le faire ^^ .